jeudi 30 avril 2015

Danger dans les fraises françaises et espagnol, pesticides interdits !

Une association française a testé de larges échantillons de fruits. Résultats : 71 % contenaient des perturbateurs endocriniens, 18 % des pesticides prohibés.





Dans l'enquête menée par Génération futures, seuls 4 échantillons sur 49 (26 français, 23 espagnols) ne contiennent ni pesticides ni perturbateurs endocriniens.
Dans l'enquête menée par Génération futures, seuls 4 échantillons sur 49 (26 français, 23 espagnols) ne contiennent ni pesticides ni perturbateurs endocriniens


Après avoir dénoncé la teneur en pesticides des céréales, Générations futures publie le deuxième volet de son enquête destinée à démontrer la charge considérable de perturbateurs endocriniens contenus dans nos assiettes. Ce mardi, l'association militante a dévoilé les résultats d'une étude* réalisée de février à avril sur des fraises issues de l'agriculture conventionnelle, choisies au hasard dans les supermarchés français. Les fruits proviennent de France et d'Espagne, respectivement cinquième et premier producteur européen. Et les quantités de pesticides mesurées sont loin d'être négligeables...

Seules 8 % des fraises sans résidus

Sur les 49 barquettes passées aux tubes à essai, près de 92 % contenaient un ou des résidus chimiques (85 % pour les françaises, 100 % pour les espagnoles). Pire, les scientifiques ont retrouvé dans sept barquettes sur dix un ou plusieurs pesticides perturbateurs endocriniens. Ces substances, contre lesquelles Générations futures est en croisade depuis sa fondation, peuvent provoquer "cancers, perturbations du métabolisme et de la reproduction", en particulier lorsqu'elles sont absorbées par les jeunes enfants ou les femmes enceintes.
Un comble quand on sait que la fraise est justement le fruit préféré des petits et que l'adage veut que les futures mamans en raffolent... Une situation "intolérable" pour le porte-parole François Veillerette, qui rappelle que le nouveau consensus scientifique tend à soutenir que ces perturbateurs agissent "même à très faible dose". "On sait aussi que le lavage n'en enlève qu'une petite partie et que la fraise n'est pas vraiment un fruit qu'on épluche", se désole-t-il.

Des pesticides interdits, mais toujours présents

L'enquête a aussi révélé d'autres surprises, qui mettent l'accent sur des pratiques agricoles douteuses. En effet, 18 % des échantillons contenaient des pesticides interdits depuis plusieurs années sur les sols français ou espagnols, comme l'endosulfan ou le carbosulfan, tous deux considérés comme de graves polluants pour l'environnement et la santé.
Ces résultats montrent par ailleurs comment certains cultivateurs jouent avec la limite maximale de résidus (LMR). En alternant différents produits phytosanitaires, ils ne dépassent pas, en théorie, les valeurs légales pour chaque pesticide. Mais quand on additionne la quantité totale de résidus, on arrive à des taux astronomiques. Par exemple, la somme des pesticides d'un lot acheté dans un supermarché de banlieue parisienne explosait la limite totale de LMR, à 264 %. Soit deux fois et demie le seuil théorique autorisé.
Interrogé sur l'absence de données sur les fraises issues de l'agriculture biologique, François Veillerette a expliqué que son association manquait de moyens pour les tester. Il précise que, a priori, elles devraient contenir beaucoup moins de substances chimiques que les fruits issus de l'agriculture dite conventionnelle.

Combat européen


Ces chiffres sont en tout cas là pour alerter "le citoyen comme les distributeurs et l'État" quant à la situation. L'association critique d'ailleurs les coupes réalisées dans les "dépenses publiques", qui diminueraient l'efficacité des services de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes.
Surtout, Générations futures veut marquer les esprits à quelques mois de l'adoption, par le Parlement Européen, de nouveaux critères qui devraient exclure du marché agricole bon nombre de ces perturbateurs, comme le prévoit le règlement 1107/2009. Encore faut-il que cette liste soit "vraiment restrictive", avertit François Veillerette, ce que ne manqueraient pas de dénoncer les lobbies des industries chimiques et agricoles pro-pesticides.
*Les analyses ont été réalisées par le laboratoire belge Fytolab, "agréé par la Direction générale de l'alimentation", explique Générations futures.

Du poison sur les tomates

Des scientifiques réputés viennent de nous mettre en garde: le désherbant le plus utilisé au monde est “probablement cancérigène”!Monsanto fait tout pour que l’Organisation mondiale de la santé retire ce rapport détonant. Pour les experts, le seul moyen d’éviter que la science ne soit bâillonnée, c’est que le public exige des actes concrets dès maintenant.


Les instances qui réglementent ce type de produit sont réputées pour leur opacité et l’influence qu’y exerce l’industrie agrochimique. Mais une opportunité unique s’offre à nous:l’Union européenne est officiellement en train de réévaluer l’autorisation du glyphosate et des processus similaires sont en cours aux États-Unis, au Canada et au Brésil. De leur côté, les Pays-Bas, le Sri Lanka et le Salvador envisagent une interdiction totale.

La menace est bien réelle: on retrouve des traces de ce poison dans notre nourriture, dans nos champs, dans les aires de jeux de nos enfants et dans nos rues. Demandons sa suspension! Rejoignez cet appel urgent et faites passer le mot à tout le monde:

https://secure.avaaz.org/fr/monsanto_dont_silence_science_loc_eu/?bogMBbb&v=57282

Chez Monsanto, c’est le branle-bas de combat. Le glyphosate est l’élément de base du Roundup, la pierre angulaire de l’empire du génétiquement modifié de Monsanto; il leur rapporte 6 milliards de dollars chaque année. La multinationale a déclaré que le rapport de l’OMS ignorait des études qui considèrent le glyphosate sans danger. Mais les scientifiques qui ont rédigé ce rapport ne sont pas des amateurs: il font partie des 17 meilleurs spécialistes mondiaux du cancer! Ils ont méticuleusement passé en revue des publications indépendantes, en éliminant toutes les études commanditées par les multinationales en quête d’une validation de leur produit.

La plupart du temps, les autorités de réglementation s’en remettent à des évaluations réalisées par les mêmes multinationales qui essaient de vendre leur poison! Les conclusions principales ne sont pas rendues publiques car elles contiendraient des “informations commerciales confidentielles”, et 58% des groupes scientifiques de l’Agence européenne de sécurité des aliments entretiennent des relations avec le secteur privé. C’est aberrant, mais c’est le système tel qu’il existe. C’est pourquoi nous allons avoir besoin de chacun de nous pour faire en sorte que ce rapport crucial ne soit pas enterré.

Certains pays ont déjà interdit le glyphosate. Maintenant que l’UE, les États-Unis, le Canada et le Brésil sont en train de réévaluer son autorisation, nous avons une opportunité unique de changer la donne au niveau mondial.

Il y a cinquante ans, le DDT, un insecticide de Monsanto, était utilisé partout jusqu’à ce que le livre “Printemps silencieux” démontre qu’il était cancérigène. Une décennie plus tard, ce produit était interdit. Si le glyphosate est nocif, ne le tolérons pas sur nos étalages pendant encore dix ans. Demandons l’application du principe de précaution d’urgence!Rejoignez-nous et faites passer le mot tout autour de vous: 

https://secure.avaaz.org/fr/monsanto_dont_silence_science_loc_eu/?bogMBbb&v=57282
Nous avons déjà remporté ce genre de victoires: nous avons contribué à la mise en place d'un moratoire sur les néonicotinoïdes tueurs d’abeilles en Europe et fait fermer une méga-usine de fabrication de semences transgéniques de Monsanto en Argentine. Aujourd’hui, il est temps de protéger notre santé et de nous assurer que nous ne sommes pas utilisés comme cobayes. Cela pourrait bien être un tournant dans le combat pour l’agriculture raisonnable et durable dont le monde a besoin.

Avec espoir,

Bert, Marigona, Antonia, Oliver, Alice, Emily, Danny, Nataliya, Ricken et toute l’équipe d’Avaaz

POUR PLUS D’INFORMATIONS:

Herbicide: sévère mise en garde contre le glyphosate (Le Figaro)
http://www.lefigaro.fr/sciences/2015/04/03/01008-20150403ARTFIG00365-herbicide-severe-mise-en-garde-contre-le-glyphosate.php.

Le désherbant Roundup classé cancérogène (Le Monde)
http://www.lemonde.fr/planete/article/2015/03/25/le-desherbant-roundup-classe-cancerogene_4600906_3244.html

Cancérogène, le Roundup? Monsanto attaque les chercheurs (Terra Eco)
http://www.terraeco.net/Monsanto-Roundup-OGM-glyphosate,59150.html

Le glyphosate, le pesticide le plus épandu en France, “probablement cancérigène” (Sciences et Vie)
http://www.science-et-vie.com/2015/03/le-glyphosate-le-pesticide-le-plus-epandu-en-france-probablement-cancerogene/

Pesticides cancérogènes "possibles": Royal contre une "vente libre" aux particuliers (AFP)
http://www.techniques-ingenieur.fr/actualite/pesticides-cancerogenes-possibles-royal-contre-une-vente-libre-aux-particuliers-article_293651/

Cultures OGM et pesticides: les effets négatifs du "roundup" sous-estimés (Combat Monsanto)
http://www.combat-monsanto.org/spip.php?article894

La fiabilité de l’agence européenne de sécurité alimentaire mise en doute (Euractiv, en anglais)
http://www.euractiv.com/cap/food-safety-agencys-reliability-comes-fresh-criticism-news-510827 

Glyphosate: des raisons de s’inquiéter! (Les Amis de la Terre)
http://www.amisdelaterre.org/IMG/pdf/glyphosate_briefingmedia-2.pdf

Rapport du Centre International de Recherche sur le Cancer (en anglais)
http://www.iarc.fr/en/media-centre/iarcnews/pdf/MonographVolume112.pdf

mercredi 29 avril 2015

Le labour une énorme connerie et un véritable piège !

Efficace à court terme, dangereux à long terme

Passage d'un tracteur agricole pour le labourDepuis les débuts de l'agriculture, on a recours au labourage pour retourner, mélanger, et ameublir la terre. Cette action entraîne une minéralisation rapide de la matière organique dans les sols vierges, qui libèrent des éléments nutritifs pour la culture suivante. A court terme, le labourage accroît donc la fertilité du sol. Mais cela ne dure pas très longtemps, et au fil des ans, on doit pratiquer un labourage de plus en plus intensif pour maintenir la structuration du sol.

Dans les écosystèmes naturels, le sol est toujours recouvert de matière végétale morte ou vivante. 


Le semis direct consiste à déposer directement les graines dans le sol, par-dessus le tapis végétal existant (prairie, résidus de la précédente récolte…). Si on plante du colza une année, il repousse spontanément l'année d'après. On sème alors du blé directement par-dessus, Les repousses de colza seront recyclées en matière organique et la nouvelle culture pourra démarrer. Entre les deux cultures, il est conseillé de semer une couverture végétale intermédiaire, comme le trèfle, la féverole, ou la moutarde.

Le labourage, c'est cher...

Mais que reproche-t-on exactement au labourage ? D'abord, il coûte cher : 41 euros par hectare contre 19 euros pour le semis direct. Avec l'agriculture de conservation, non seulement on économise en temps de travail (déchaumage, préparation du sol…), mais aussi sur la facture pétrolière.

... Ça abime le sol...

Deuxièmement, le labourage affecte la structure et la stabilité du sol, en le laissant à nu à la merci du vent et du ruissellement. 25 millions d'hectares sont gravement menacés par l'érosion en Europe. Pour compenser l'érosion et la perte de fertilité, les agriculteurs utilisent de grandes quantités d'engrais et de pesticides, qui contaminent les rivières. Au contraire, avec l'agriculture de conservation, les résidus de surface interceptent les éléments minéraux jusqu'à ce qu'ils soient utilisés par la culture ou dégradés.

Troisièmement, le labourage rend le sol plus vulnérable à la sécheresse. A chaque passage de travail du sol, on draine le sol et le taux d'humidité diminue de 15 litres/m². Au contraire, en laissant un couvert végétal permanent, on diminue l'évaporation d'eau.

Quatrièmement, le labourage détruit la microfaune et la microflore du sol. Celui-ci contient de nombreux être vivants, des bactéries microscopiques aux vers de terre. Or des derniers, en creusant des galeries, favorisent la formation de matière organique et stabilisent le sol. Les lombrics "labourent" naturellement 20 à 30 tonnes de terre par hectare !

... Ça aggrave le réchauffement climatique

Mais surtout, le labourage contribue au réchauffement climatique dans de fortes proportions. Depuis
l'invention de l'agriculture, les champs auraient laissé échapper 320 milliards de tonnes de carbone, plus que la combustion des énergies fossile (pétrole, charbon)… "Sous l'action des micro-organismes, le carbone contenu dans l'humus du sol est libéré et oxydé dans l'atmosphère sous forme de CO2" explique Rattan Lal, agronome à l'université de l'Ohio (Etats-unis).

En aérant et retournant la terre, le labourage augmente encore ce phénomène : un sol labouré dégage trois fois plus de gaz carbonique qu'un sol non travaillé. Grâce à l'agriculture de conservation, on pourrait "séquestrer" 1,2 milliards de tonnes de carbone dans le sol, soit le tiers des émissions annuelles de CO2.

Une formation indispensables des agriculteurs

Mais tout n'est pas rose au pays des anti-labour. Il faut être très précis dans les périodes de semis, car la décomposition des plantes de couverture peut entraîner un déficit en azote au début de la phase de croissance. D'autre part, les mauvaises herbes comme le brome et le lupin sont enfouies profondément dans le sol par le labourage. Alors qu'elles restent en surface sans travail du sol.

samedi 25 avril 2015

Monsanto viré du Salvador et récolte au top !

Le Salvador a tourné le dos aux grandes multinationales semencières et aux phytosanitaires pour favoriser la culture de graines locales. Depuis, le système agricole du pays aurait gagné en durabilité et en productivité.



En septembre 2013, le Salvador votait l’interdiction de 53 produits phytosanitaires à usage agricole. Parmi eux, ce grand pays producteur de café, coton, maïs et canne à sucre retirait du marché le Roundup (glyphosate), désherbant vedette de Monsanto, récemment classé “cancérogène probable” par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).


Pour protéger le patrimoine semencier salvadorien et assurer la production agricole, le gouvernement de l’ancien président Mauricio Funes lançait en 2011 le Plan pour l’agriculture familiale (FAP). À destination de quelque 400 000 familles d’exploitants, ce plan visait à revaloriser les semences locales et émanciper les petits producteurs des industriels des biotechnologies et de leurs OGM.

En crise, le système agricole était majoritairement dépendant des semences hybrides commercialisées par Monsanto, Pioneer et consort. Avant la mise en œuvre du FAP, 75 % du maïs et 85 % des haricots étaient importés selon le site d’information The Seattle Globalist. Et les plantes cultivées sur le territoire étaient majoritairement issues de graines OGM stériles, non adaptées aux territoires et à leurs particularités, forçant le recours aux intrants chimiques. Réaffirmant sa souveraineté alimentaire, le gouvernement a donc décidé de rompre avec les industries semencières internationales pour favoriser les graines locales.

L’État a alors investi plus de 18 millions de dollars afin de livrer 400 000 exploitants en maïs H-29, développé par le Centre national de la technologie agricole et forestière (CENTA). Le maïs présente l’avantage d’être une variété locale, mieux adaptée aux terres salvadoriennes et plus résistantes à la sécheresse.

Selon le site Natural Society, l’agriculture du Salvador serait en pleine expansion. Le pays aurait connu des récoltes records depuis qu’il a banni certains phytosanitaires.
Si le Salvador s’est détourné des grands groupes internationaux spécialisés dans les biotechnologies, des questions demeurent quant à la pérennité du Plan agricole du pays. Car le maïs H-29, bien que produit localement, est une variété hybride. Il a beau être mieux adapté au territoire du Salvador et nécessiter l’usage de moins d’intrant, il n’en est pas moins stérile.

Bioalaune

Mise à jour : Suite à de nouvelles informations, l’article a été modifié le 22 avril 2015. La rédaction remercie Pierre-Alexis Rigaudière pour son éclairage et ses sources.

 http://www.chaos-controle.com/archives/2015/04/23/31938985.html

Source Réseau-International

Voir aussi:

L’accaparement de terres en Ukraine est la porte dérobée de Monsanto pour entrer dans l’Union européenne

Norvège: Une pluie de vers de terre soudaine déroute les scientifiques

Monsanto a un « service entier » pour discréditer tout scientifique qui s’oppose à lui  (état-du-monde-état-d’être)

Extrait:

Lors d’une conférence à laquelle participaient essentiellement des étudiants qui espéraient recevoir des stages bien payés dans leur domaine, un étudiant demanda ce que Monsanto faisait pour contrer les allégations de « mauvaise science », à propos du travail de l’entreprise.

Le Dr Willian « Bill » Moar, qui est employé de Monsanto pour animer des conférences sur les produits de Monsanto dans le but de rassurer tout le monde sur le fait qu’ils sont sans danger, oublia peut-être que la conférence était publique, lorsqu’il révéla ouvertement que :

Il y a tout un service (en écartant ses bras pour bien souligner l’ampleur) dédié uniquement au dégommage des scientifiques qui ne sont pas d’accord avec nous.

C’est probablement la première fois qu’un salarié de Monsanto reconnaît publiquement que l’entreprise utilise tout son poids politique et financier pour faire pression sur les scientifiques qui osent publier quelque chose contre l’entreprise. Bien sûr, vous ne trouverez aucune trace de ce service de désinformation sur leur site Internet.

Association plantes du potager en protection.

CHOU + SOUCI
CHOU POMME MENTHE POIVREE/HYSOPE/THYM/SAUGE
CHOU + CELERI
Action répulsive contre les maladies du chou tel que la piéride
Mêmes exigences de la culture pour le chou et la menthe


CHOU + TOMATE Action contre la mouche du chou CHOU + HARICOT Action contre la mouche du chou et les pucerons cendrés

CHOU + OEILLET D'INDE Action contre les altises

POIVRON + GERANIUM L'odeur des géraniums a une action répulsive contre les parasites du poivron 2 amateurs du soleil

PIMENT + BASILIC MARSEILLAIS Action répulsive contre les parasites du piment

PIMENT/POIVRON + BOURRACHE La bourrache attire les pollinisateurs pour la fécondation et donc aide à la fructification.

PIMENT/POIVRON + SOUCIS ET OEILLETS D'INDE
Action répulsive contre les pucerons

TOMATE + BASILIC GRAND VERT TOMATE + OEILLET D'INDE
Action réulsive contre les parasites de la tomate (ex : nématodes). La tomate et le basilic sont deux aliments très agréables à associer en recette (ex : en sauce). Stimule la croissance du pied de tomate. Mêmes exigences de culture.

TOMATE + SOUCIS Action répulsive contre les nématodes. Stimule la croissance du pied.

TOMATE + CAPUCINES Action répulsive contre le mildiou. Economie d'arrosage car ils demandent les mêmes conditions.

TOMATE + PERSIL Action répulsive contre les parasites de la tomate. 2 bons accompagnements en salades d'été. Réussite garantie du persil.

COURGETTE + DAHLIA Association fleurie. Facilité de récolte. Prévention contre les mauvaises herbes.

COURGETTE + CAPUCINE /SOUCIS/OEILLET D'INDE Action répulsive contre les pucerons

COURGETTE + TABACS D'ORNEMENT Action répulsive contre les aleurodes.

COURGETTE + BASILIC Action répulsive contre l'oïdium. COURGETTE + THYM Action répulsive contre les limaces.

AUBERGINE + ESTRAGON Action répulsive contre les parasites de l'aubergine.

FRAISIER + BOURRACHE Association biologique favorisant la pollinisation du fraisier. Mêmes exigences de culture. Facile à cultiver.

CHOU BRUXELLE + SOUCIS Action répulsive contre les parasites du chou.

POIREAU + CELERI A COTES (céleri branche) Association biologique Légumes présentant les mêmes exigences.

EPINARD + THYM Action répulsive contre les limaces.

 EPINARD + SOUCIS/OEILLETS D'INDE Action répulsive contre les pucerons

 CONCOMBRE + BASILIC Action répulsive contre l'oïdium.

CONCOMBRE + SAUGE OFFICINALE La sauge favorise leur développement.

CONCOMBRE + CAPUCINE Action répulsive contre les pucerons noirs.

HARICOT VERT + SARRIETTE/ROMARIN Action répulsive contre la mouche du haricot Aide à renforcer le goût.

HARICOT VERT + CAPUCINE Action répulsive contre la mouche du haricot Aide à renforcer le goût.

LAITUE + CHOUX Les choux permettent de procurer de l'ombre aux laitues en début de culture ou en été.

LAITUE + ROMARIN/SARRIETTE/SAUGE/THYM Action répulsive contre les pucerons

LAITUE + THYM Action répulsive contre les limaces

OIGNON + PERSIL Le persil aide à la croissance.

THYM + SARRIETTE + ABSYNTHE Attraction des insectes pollinisateurs

mercredi 22 avril 2015

Remplacez votre eau de javel !

L'eau de Javel est un produit dangereux : son utlisation permanente crée des bactéries chlororésistantes et les dégâts qu'elle cause sur notre environnement sont aujourd'hui démontrés (par exemple sur le plancton, très sensible au chlore). Il est inquiétant de penser que nos enfants jouent sur les sols désinfectés à l'eau de javel et mettent leurs jouets et leurs doigts à la bouche !


De plus, l'eau de javel ne contient aucun tensioactif : elle désinfecte et désodorise mais ce n'est pas un détergent qui nettoie.
  Nous vous proposons une recette d'une simplicité enfantine pour remplacer ce produit dans nos maisons, où il n'est pas nécessaire de détruire 99,9% des bactéries.
50mL d'alcool à 70 (qui peut être remplacé par du jus de citron)
1 cuillère à soupe de bicarbonate de soude
100mL de vinaigre blanc
Un parfum naturel type huiles essentielles (facultatif)
Mélangez le vinaigre blanc et le bicarbonate. Laissez mousser. Ajoutez votre alcool puis vos huiles essentielles.
Mettez en vaporisateur et vaporisez sur les surfaces à désinfecter.
Inutile de rincer, aucun des ingrédients n'est toxique !
Coût par année : moins de 1€.
Temps de réalisation : 5 minutes.

mardi 21 avril 2015

Débouchez vos artères obstruées à l’aide de ce vieux remède naturel allemand

Rendez vos artères plus propre !

Le gingembre et l’ail sont les principaux ingrédients qui renforcent votre immunité. Ils sont tels un élixir pour l’athérosclérose, car ils nettoient efficacement les artères, régulent les lipides sanguins, aident à guérir les infections et les rhumes ainsi qu’à purifier le foie.


Le remède naturel suivant provient de l’ancienne médecine populaire allemande. Il est très efficace contre l’athérosclérose.
Ingrédients :
  • Une racine de gingembre de trois à quatre centimètres
  • Quatre citrons
  • Quatre grandes gousses d’ail
  • Huit à neuf tasses d’eau (2 litres)
  • Une à deux cuillère(s) de miel biologique
Préparations :
  • 1- Lavez le citron et le gingembre. Pelez l’ail, mais pas le gingembre. Déchiquetez-les en morceaux.
  • 2- Mettez le citron, l’ail et le gingembre dans un mélangeur jusqu’à ce que la consistance soit lisse.
  • 3- Versez le mélange dans huit à neuf tasses d’eau, puis chauffez-le. Remuez pendant l’ébullition. Une fois cuit, retirez la casserole du feu.
  • 4- Couvrez la casserole, puis laissez refroidir. Versez ensuite le mélange dans un bocal en verre, puis ajoutez du miel.
  • 5- Chaque jour pendant trois semaines, buvez une tasse (250 ml) par jour, et ce, au moins deux heures avant de manger.
  • 6- Vous pouvez prendre une pause pendant une semaine, puis répétez la procédure.
Conservez ce remède naturel au réfrigérateur.