mardi 27 janvier 2015

Le chlorure de magnésium




Le chlorure de magnésium est un remède simple, peu coûteux et remarquablement efficace pour un grand nombre de problèmes mais hélas peu connu.





Ce produit présenté sous forme de poudre blanche se trouve facilement dans toutes bonnes pharmacies, pour un prix raisonnable et sans ordonnance. Son seul inconvénient est son mauvais goût comme la plupart de certains médicaments ou sirop. 

Le chlorure de magnésium n’est pas un produit récent, ses différentes qualités curative ont été mises en évidence par le professeur Delbet Pierre (1861-1957) lauréat à plusieurs reprises de la faculté et de l’académie de médecine. 

Mobilisé durant la 1ère guerre mondiale comme chirurgien, il se posa différentes questions sur l’efficacité des antiseptiques et de leurs effets secondaires, il en vient alors à penser qu’il valait mieux stimuler et renforcer le système immunitaire des malades. 

Il commença alors différentes recherches sur le sujet et sur le fonctionnement de notre système immunitaire. Ces travaux l’amenèrent à découvrir et à tester sous différentes formes le chlorure de magnésium, notamment à l’hôpital Necker à Paris. Il testa aussi celui-ci sur les animaux et constata les mêmes résultats, il fit même l’expérience sur lui même qui souffrait de lésions cutanées précancéreux, et là encore il obtient un résultat positif. 

Le chlorure de magnésium aurait donc une action préventive contre certaines infections y compris le cancer mais il est aussi efficace en application externe pour nettoyer ou traiter une plaie ou une maladie de la peau comme l’eczéma.

L’action du chlorure de magnésium serait de nourrir les cellules de l’organisme afin de stimuler la résistance du corps contre les maladies. Il est un traitement efficace et indiscutable contre la polio s’il est utilisé dès les premiers signes de la maladie mais il est aussi efficace pour : 

un abcès, 
de l’acné, 
une amygdalite, 
une angine, 
l’arthrose, 
l’asthénie, 
l’asthme, 
la bronchite, 
en prévention du cancer, 
les caries, 
la coqueluche, 
les crampes, 
les dermatoses, 
la diarrhée, 
la diphtérie, 
l’eczéma, 
la fièvre, 
les oreillons, 
la gale, 
les gingivites, 
la grippe, 
l’hypertension, 
l’impétigo, 
les otites, 
les panaris, 
la polio, 
les rhino,
les rhumes, 
la rougeole, 
la scarlatine, 
la tuberculose, 
l’urticaire, 

etc...

Pour vous même, vos enfants, vos animaux, ayez toujours sous la main un sachet de chlorure de magnésium il peut vous être très utile. 

Attention toutefois le chlorure de magnésium n’est pas un remède miracle et cela n’empêche pas de consulter son médecin traitant et surtout ne pas arrêter un traitement médical. 

Mais celui ci peut être un plus alors il ne faut pas hésiter à le prendre cela ne coûte rien et c’est sans danger.

Conseils d’utilisation du chlorure de magnésium : 20 gr pour 1 litre d’eau,

Adultes et enfants à partir de 5 ans : 123 cm3 de la solution toutes les 6 heures pendant 48 heures puis toutes les 8 heures jusqu’au rétablissement total. Pour les cas graves débuter par 2 doses rapprochée de 2 heures puis prendre les doses normales.

- Pour les enfants de 4 ans prendre 100 cm3 toutes les 6 heures
- Pour les enfants de 3 ans prendre 80 cm3 toutes les 6 heures
- Pour les enfants d’un et 2 ans prendre 60 cm3 toutes les 6 heures.
Pour atténuer le mauvais goût, la dose peut être prise dans un verre d’eau sucré, jus de fruit. En cas de problèmes intestinaux espacer les doses.

mardi 6 janvier 2015

Traiter les caries – Une histoire vécue


Un témoignage, perso je vais tester pour traiter mes caries !
Oh, mes amis. Je suis sur le point de vous révéler quelque chose qui m’a pris des mois avant de trouver le courage de l’avouer.

Etes-vous prêt ? (Je ne suis pas sûre de l’être, mais bon…)
Cela fait plus d’un an que je n’ai pas utilisé de dentifrice.
Oh, là là, j’ai du mal à croire que je viens juste de dire ça tout haut. Sur l’internet.
Je suppose que maintenant, je n’ai plus qu’à m’expliquer, non ?

Explorer les soins dentaires alternatifs




Il y a plus d’un an, j’ai commencé à chercher des soins naturels pour les dents, dans mon objectif général de cibler mes choix plus en accord avec la nature pour tout ce qui concerne ma santé et ma maison.
Je pensais qu’on avait déjà trouvé le meilleur choix dans le domaine dentaire puisque nous utilisions une marque « naturelle » de dentifrice. Ceci jusqu’à ce que je réalise que même mon dentifrice naturel contenait des ingrédients que je voulais éviter tels que les édulcorants, le fluor, et la glycérine.
Je n’ai pas mis longtemps à comprendre, en cherchant des approches naturelles et holistiques pour le soins des dents, que ce que nous mangeons a beaucoup plus d’influence sur nos dents que la substance avec laquelle nous les récurons, et que peut-être, ma recherche pour un dentifrice « sans risque » était une perte d’énergie. Puis j’ai trouvé des articles sur des gens qui n’utilisaient pas de dentifrice du tout. Comme je ne trouvais pas de dentifrice adapté, ni même les alternatives dont les gens parlaient, j’ai décidé d’abandonner totalement cette habitude.
Alors, je me contentais de me frotter les dents avec de l’eau. Et cela semblait bien marcher.

Que peut-donc bien être l’huile-bouche ?

Un peu plus tard, j’ai entendu parler du huile-bouche. C’était vraiment une expression bizarre, et je ne m’y suis donc même pas intéressée pendant un certain temps. Jusqu’au moment où j’ai compris que les douleurs dentaires et la sensibilité que j’avais éprouvé pourraient se trouver soulagées avec cette technique. J’ai donc poursuivi mes lectures – ça semblait être cohérent :  l’huile de noix de coco a des propriétés anti-bactériennes et peut extraire les toxines de votre bouche quand vous la gardez en bouche pendant 15-20 mn.). Et j’ai essayé.

J’ai mis la photo ci-dessus sur ma page Facebook et beaucoup d’amis m’ont demandé comment ça fonctionnait. En voici le compte-rendu.
J’ai aimé comment mes dents se sentaient avec cette nouvelle méthode de nettoyage. Je sentais que ça réduisait la plaque dentaire et rendait mes dents plus fortes. En un mois, toute la sensibilité que j’avais ressentie dans mes molaires du bas avait disparu.
J’ai donc remplacé complètement le dentifrice par l’huile-bouche et mes dents n’ont jamais été aussi saines.
Maintenant, voici mon histoire. Mais j’ai mis un « nous » dans le titre parce que Jérémy a son histoire à raconter aussi.

Et alors monsieur Holden l’a essayé aussi

Il y a plusieurs mois, mon mari est venu me dire « Je pense que j’ai une carie ». J’ai regardé dans sa bouche et ça m’a mortifiée. Sa dent de sagesse était – je ne plaisante pas – verte et marron et noire et ébrêchée, et n’avait vraiment pas l’air en bonne santé. Ni lui ni moi n’avions eu de carie avant ça, mais j’avais la certitude que c’était un cas d’école.
Je lui ai dit : « Mon coeur ! Tu as besoin de commencer l’huile-bouche de toute urgence ».
Eh bien, vous voyez, il m’a regardée d’un drôle d’air, un peu comme vous avez dû me considérer quand j’ai dit que j’avais laissé tomber le dentifrice.
Mais une semaine plus tard, un morceau de dent de sagesse est tombé et le matin suivant, il a commencé à utiliser l’huile-bouche avec de l’huile de noix de coco avant le petit-déjeûner. (D’après mes lectures, il est conseillé de se rincer la bouche dès qu’on se lève le matin.
Il a commencé à pratiquer l’huile-bouche consciencieusement chaque matin, à prendre aussi de l’huile de foie de morue (j’ai lu que se supplémenter était un élément clé de la régénération des caries). Après seulement trois jours, il n’avait plus mal. Et un mois plus tard, après avoir pratiqué l’huile-bouche 5 ou 6 fois par semaine, j’ai regardé sa bouche, et sa dent était -êtes-vous êtes prêt pour ça? Blanche. BLanche avec un peu de jaune, mais le noir et le vert et le marron étaient partis, et la surface de la dent était lissée au lieu d’être écaillée.
Mes amis, c’est tout ce qu’il y a de plus vrai.

La régénération des dents est possible, et étonnamment simple…

La Nature a conçu notre corps de façon si incroyable. Si nous le nourrissons correctement, il est conçu pour se guérir lui-même des blessures et des maladies – même nos dents.
Je partage nos histoires car l’idée de « guérir ses dents soi-même » est vraiment étrange pour la plupart des gens. Mais écoutez ça…
« Il a été prouvé par des expériences de laboratoire, publiées dans des livres et des journaux dentaires que les caries sont causées par des carences nutritives et non par les bactéries ». Ces expériences ont été menées aussi bien chez les humains que chez les animaux.
… Si le fait de se brosser les dents, de se passer le fil dentaire, les campagnes de fluorisation, ainsi que les soins des dentistes étaient efficaces pour la prévention des caries, la santé dentaire ne deviendrait pas pire au fil du temps. Elle resterait la même, ou s’améliorerait » (Ramiel Nagel de CureToothDecay.com).
Mais c’est loin de s’améliorer. Il est devenu normal de voir nos dents pourrir et tomber, pas seulement à partir de 60 ans ou 40 ans, mais chez les enfants et même les bébés.
« Ce qui manque à la théorie des bactéries de l’association dentaire américaine est que les dents fortes résistent à l’acide et aux bactéries. Et quand vous, le consommateur, vous comprenez qu’une dent forte résiste à l’acide indéfiniment, alors la question logique qui suit est « qu’est-ce qui rend une dent forte » (Ramiel Nagel).
La réponse que Ramiel expose en détail dans son ebook (lien ci-dessous) est une bonne nutrition. Et vous savez ce que ça signifie quand je dis une « bonne nutrition » : des aliments complets, de bonnes graisses, du lait cru, des viandes élevées sainement à l’herbe et des graines et légumes correctement préparés (à faible température). Ramiel souligne en particulier le lait cru entier dans le régime alimentaire et beaucoup de graisses profondément nourrissantes comme le beurre clarifié et l’huile de foie de morue.
Alors, vous avez mal aux dents? Vous voudriez avoir des dents plus saines? Ne désespérez plus. Vous pouvez vraiment faire autre chose que de les faire extraire et d’avoir un dentier. (Oh, oui!). Améliorez votre alimentation et commencez l’huile-bouche!

Comment faire votre huile-bouche avec l’huile de noix de coco

  1. Prenez enviton 2 cuillères à café d’huile de noix de coco et mettez-là dans votre bouche.
  2. Mâchez ou gardez l’huile dans votre bouche jusqu’à ce qu’elle fonde et devienne liquide (cela prend environ 30 secondes).
  3. Commencez à en imprégner toutes vos dents, aspirer l’huile de tous les côtés et entre les dents..
  4. Agitez pendant 20 mn, puis recrachez là quand vous avez fini.

Pourquoi l’huile-bouche fonctionne

Vos dents sont poreuses, en fait, comportant des mètres et des mètres de minuscules passages (comme une éponge) qui conduisent les nutriments vers l’émail externe lorsque vous leur fournissez une bonne alimentation… ou bien aspirent les toxines à l’intérieur des dents lorsque les nutriments font défaut. L’huile elle-même a la faculté de s’infiltrer directement dans la plaque dentaire jusqu’à la surface de la dent, et l’huile de noix de coco en particulier a de riches propriétés anti-bactériennes. Si l’huile-bouche renforce les dents, c’est qu’elle aide à faire refluer les toxines, se chargeant des bactéries des dents, et les transportant pour les éliminer. De plus, nous avons trouvé que l’action d’agiter le produit dans la bouche peut être aussi efficace que le fil dentaire, sans le dommage causé aux gencives (En effet, j’ai évacué des bouts de popcorn en faisant l’huile-bouche!)

Où trouver de l’huile de noix de coco

N’importe quelle huile de noix de coco vierge bio, pressée à froid sera adéquate. Si elle sent comme la noix de coco, c’est le signe qu’elle a bénéficié d’un traitement doux et a conservé tous les merveilleux attributs que la nature lui a prodigués! Il est nécessaire de rechercher une huile de noix de coco pressée à froid, extra vierge et bio.

Témoignage à propos des ‪pesticides‬ et des causes à effets directes

La personne a même travaillé au CNRS !

J’habite la campagne, un hameau de 4 maisons où vivent 7 adultes et 4 enfants.
Le hameau est entouré de toutes parts de champs adjacents, les maisons étant à quelques mètres des cultures de céréales qui ont remplacés les prairies qui existaient auparavant.
Parallèlement, nous avons constaté la raréfaction des fruits malgré de superbes floraisons (quasi disparition des abeilles malgré le fait que deux agriculteurs implantent des ruches au bord de leurs champs de maïs) et la mort de nombreux petits arbres (9 ce printemps), figuiers, poiriers, pêchers, groseilliers, etc…récemment plantés et régulièrement arrosés.
Depuis plusieurs années, j’ai un problème neurologique qui se reproduit au printemps, des troubles de l'équilibre curieusement apparus après avoir respiré des pesticides pulvérisés dans le champ voisin.

C’est assez gênant de devoir se tenir aux murs pendant plusieurs jours ou semaines et de tomber régulièrement.
Ma femme a eu des problèmes analogues, moins graves, en même temps et aussi juste après une pulvérisation voisine, et la voisine se demande pourquoi il lui arrive de perdre l’équilibre.
Il s’est avéré que le mélange utilisé pour ces pulvérisations comporte de la cyperméthrine, un insecticide bien connu comme responsable de manifestations neurologiques. Il y était associé à un herbicide, le 2,4 D.
Curieusement, j’ai eu en même temps un pré-diabète (heureusement corrigé par un simple régime). On sait depuis longtemps qu’un des effets du 2,4 D est l’induction de diabète.
Ce printemps a été marqué par un nouveau souci. L'apparition de sévères troubles du rythme cardiaque m'a conduit à un bilan à l’hôpital.
Il a révélé une atteinte cardiaque ischémique grave (le sang n’arrive pas en quantité suffisante au niveau du muscle cardiaque), sans avoir aucun des facteurs habituels d’ischèmie cardiaque, i.e. glycèmie –normale depuis 3 ans, cholestérol et autres lipides , pas d’hypertension, arrêt du tabac en 1973 et surtout artères du coeur (coronaires) normales à la radio (coronarographie).
L’étude faite dans les régions américaines de culture de blé (Mortality from Ischemic Heart Disease and Diabetes Mellitus (Type 2) in Four U.S. Wheat-Producing States: A Hypothesis-Generating Study. D. M. Schreinemachers, Environ. Health Perspect. 2006, 114, 189-193) rapporte des constatations identiques et les attribue au 2.4 D.
Coïncidence troublante, 4 autres adultes habitant le hameau ont aussi des troubles du rythme cardiaque. Le voisin agriculteur les attribue au tabac (même si personne ne fume), et Il a aussi ces troubles qu’il attribue au stress.
Lorsqu’on parle de toxicité des pesticides, tout le monde rigole. Pas seulement la plupart des agriculteurs, mais aussi beaucoup de médecins.
Les neurologues du CHU ignoraient la neurotoxicité de la cyperméthrine, pourtant bien connue. On commence seulement à parler des liens entre maladie de Parkinson et pesticides agricoles alors que la littérature médicale contient 548 publications, de l’induction de lymphomes (cancers des ganglions lymphatiques, 450 études publiées, bien connue dans un CHU proche de cultures de pommes).
Les cardiologues ignoraient tout des liens entre herbicides et ischèmie cardiaque et j’ai du leur passer une copie de la publication américaine récente.

lundi 5 janvier 2015

L'agriculture biologique, plus productive qu'on ne le pense


Des légumes provenant de l'agriculture biologique.

En dépit de ses vertus en matière de respect de l'environnement et de préservation de la biodiversité, l'agriculture biologique est souvent reléguée au rang d'alternative marginale, définitivement incapable de nourrir les plus de neuf milliards d'humains que comptera la planète en 2050, dont un quart sur le continent africain.



Il est vrai que, fin 2011, elle n'occupait que 37,2 millions d'hectares dans le monde, soit seulement 0,9 % de la surface agricole totale, même si, entre 2000 et 2010, son emprise territoriale a été multipliée par 2,4. Mais ses détracteurs lui reprochent surtout ses piètres rendements, comparés à ceux de l'agriculture conventionnelle.
Or, une « méta-étude » américaine, publiée, mardi 9 décembre, dans les Proceedings of the Royal Society (l'équivalent britannique de l'Académie des sciences française), redore quelque peu le blason de ce mode de culture qui proscrit les intrants chimiques, engrais, pesticides et autres produits phytosanitaires. Elle conclut que le déficit de productivité des méthodes biologiques par rapport à l'agriculture intensive, ou industrielle, est moins important que ne l'affirmaient de précédents travaux. Et, surtout, qu'il est possible de réduire cet écart.

MEILLEURS RENDEMENTS AVEC LA POLYCULTURE
Les dernières grandes études internationales sur le sujet, conduites l'une par le Néerlandais Tomek de Ponti, l'autre par la Canadienne Verena Seufert, et publiées toutes deux en 2012, convergeaient pour indiquer que les rendements moyens des productions végétales sont, en mode biologique, de 20 % à 25 % inférieurs à ceux des pratiques traditionnelles.
Les signataires de la nouvelle publication, dirigés par Claire Kremen, professeur de sciences de l'environnement et codirectrice du Berkeley Food Institute de l'Université de Californie, disent avoir passé au crible trois fois plus de données que leurs prédécesseurs. Ils ont ainsi dépouillé 115 études de 38 pays, portant sur 52 espèces végétales et couvrant trente-cinq années.

Résultat de cette analyse panoramique : la différence de productivité entre bio et traditionnel est ramenée à 19,2 %. En outre, contrairement aux travaux antérieurs, les auteurs ne trouvent pas de différence entre pays développés et pays en développement, pour ce qui est des performances respectives des deux modes de culture.
Mais l'enseignement principal est que le différentiel est beaucoup plus faible lorsque les exploitations biologiques ont recours soit aux cultures associées (plusieurs plantes cultivées sur la même parcelle), soit aux rotations : il tombe alors à respectivement 9 % et 8 %. « Ces résultats prometteurs, estiment les auteurs, suggèrent qu'un investissement approprié dans la recherche agronomique pour améliorer la gestion des cultures biologiques pourrait fortement réduire ou même éliminer l'écart [avec l'agriculture traditionnelle] pour certaines cultures ou régions. »

ACCÈS À LA NOURRITURE
« Les méta-analyses de ce type ont l'intérêt de compiler un très grand nombre de données, même si, dans ce travail comme dans les précédents, les informations sur les milieux agronomiques étudiés et sur leur fertilité font défaut, commente Christian Huyghe, directeur scientifique adjoint chargé de l'agriculture à l'Institut national de la recherche agronomique. Son apport essentiel est de confirmer qu'en agriculture biologique, la diversification est essentielle pour améliorer la performance. »

Il ajoute toutefois : « Le temps où l'on cherchait à opposer agriculture biologique et agriculture conventionnelle est révolu. Il existe entre les deux toute une gamme de pratiques agricoles, qui doivent être cohérentes avec les milieux et les besoins locaux. » 
Le bio est un moyen de permettre d'accès permettant de couvrir les besoins alimentaires de l'humanité. « Notre système agricole actuel produit beaucoup plus de nourriture qu'il n'en est nécessaire pour subvenir aux besoins de la planète.

 Eradiquer la faim dans le monde exige d'améliorer l'accès des populations à la nourriture, pas simplement d'accroître la production. » Mais aussi de mettre fin au gaspillage alimentaire, qui représente près du tiers de la production mondiale de nourriture.
Voir l'infographie : Chaque année, 1,3 milliard de tonnes de nourriture gaspillées
Pour autant, plaide la chercheuse, « augmenter la part de l'agriculture faisant appel à des pratiques durables n'est pas un choix, mais une nécessité : nous ne pouvons tout simplement pas continuer à produire de la nourriture sans prendre soin des sols, de l'eau et de la biodiversité. »


Les salariés exposés aux pesticides sont des lanceurs d’alerte : ils veulent être entendus et protégés !

agriculteur masqueAlors que l’ANSES co-organise avec l’EFSA demain et après demain un colloque intitulé « Expositions professionnelles aux pesticides – Enjeux pour la recherche, l’évaluation et la prévention » des associations de défenses des victimes des pesticides et autres substances chimiques, de l’environnement, des syndicats, des médecins… communiquent pour soutenir tous ces salariés qui chaque jour sont exposés à ces substances chimiques qui menacent leur santé.

Contexte:

 Depuis plusieurs années de nombreux professionnels exposés aux pesticides dans le cadre de leur travail, notamment des salariés, se sont manifestés du fait de l’impact de ces produits sur leur santé. Certains ont obtenu une forme de reconnaissance


 notamment lors de victoire dans des procédures juridiques avec des délibérés condamnant les employeurs pour faute inexcusable comme ce fut le cas de Mme S.[1] ou encore pour les salariés de Triskalia[2], d’autre obtenaient cette reconnaissance grâce au lien qui était fait entre la survenue de leur maladie et l’exercice de leur métier, comme ce fut le cas de G. Vendé ou de JM Bony[3]. Il s’avère que dans de nombreux cas, les mesures de protection, vis-à-vis des expositions aux pesticides, n’ont pas été prises à la hauteur des risques sanitaires encourus ; risques aujourd’hui avérés comme en témoigne, l’Appel des médecins ou encore l’expertise INSERM sur le sujet. De même, les équipements de protection – sensés « protéger » – et qui pourraient être mis à disposition ne remplissent pas efficacement leur fonction parce qu’ils ne sont pas testés et/ou adaptés à ce type de toxiques.
Soutenir ces professionnels, une nécessité. Tous ces salariés, qui se battent, témoignent d’un grand courage pour eux-mêmes mais aussi pour les autres (affronter la maladie, la mort et le regard parfois inquisiteur des autres professionnels). Dans ce combat pour la reconnaissance de leur situation, ces personnes subissent parfois (souvent) de très grandes pressions et sont doublement victimes: ils sont malades mais en plus souvent, ils sont montrés du doigt sur leur lieu de travail, allant même jusqu’à être licenciés (comme ce fut le cas des salariés de Triskalia).
De l’intimidation aux pressions. Forts de toutes les informations sur les conséquences sanitaires des pesticides et malgré les pressions, de nombreux salariés continuent d’alerter sur ces risques que les pesticides font courir à leur santé.  Certains le disent plus haut et fort, c’est le cas de ML Bibeyran, qui aujourd’hui, parce qu’elle se bat pour sa santé, pour celle des autres salariés, pour les riverains mais aussi en mémoire de son frère, se retrouve dans une situation professionnelle délicate. Elle subit des pressions que les signataires de ce communiqué veulent aujourd’hui dénoncer.
Nos organisations jugent ces pratiques abusives inacceptables. Nous réclamons pour Marie-Lys et tous les autres le droit à la liberté de dire et dénoncer le danger des pesticides. En outre, il est absolument nécessaire que la réglementation du code du travail soit appliquée et renforcée, afin que les salariés au même titre que les employeurs – qui eux-mêmes peuvent être exposés à ces risques – ne soient pas impactés par les pesticides.Nul ne devrait être inquiété parce qu’il dit haut et fort ce que d’autres ne veulent pas voir ni entendre. Et comme tous les lanceurs d’alerte d’Henri Pézerat en passant par Rachel Carlson, ML Bibeyran, mérite être soutenue, protégée et écoutée. C’est ce que font aujourd’hui nos organisations.

La boisson la plus efficace de détoxification et de perte de poids – par le Dr Saracoglu

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Renforcez votre immunité et perdez quelques kilos en suivant la nouvelle méthode introduite par le chimiste et microbiologiste turc, le Dr Ibrahim Saracoglu.


La procédure de détoxification, selon le Dr Saracoglu, dissout les graisses (en particulier autour du foie), diminue l’appétit, et a également un effet diurétique, antivirus et antifongique. Le procédé permet une perte de poids de plusieurs kilos, stimule l’immunité, nettoie le corps, « dissout » les calculs rénaux et biliaires et rend la peau plus juvenile.
Le médecin recommande cette méthode de détoxification en particulier pour les patients infectés par l’hépatite B et C. La régénération de la peau est seulement un plus durant la procédure.
Mixez bien ou hachez en petits morceaux une demi botte de persil (une dizaine de tiges) et deux gousses d’ail.
Ajoutez une cuillère à soupe de jus de citron et 150 ml d’eau au mélange. Mixez le tout. Cette boisson est consommée avant le petit déjeuner et le dîner pendant 3 jours (la boisson est préparée avant chaque repas).
Après les trois premiers jours, faites la même boisson (eau, persil et jus de citron), mais sans ail. Consommez ce jus 3 jours de suite, aussi avant le petit déjeuner et le dîner.
Pour les trois jours suivants, préparez la recette contenant l’ail, de nouveau.
La procédure dure 9 jours. Faire deux semaines de pause, et répétez le cycle pendant 9 jours.

Neige non toxique pour votre sapin







Une nouvelle étude scientifique prouve que manger bio permet d'être en meilleure santé

Une équipe internationale d'experts dirigée par l'Université de Newcastle au Royaume-Uni vient de publier une étude qui prouve que les produits bio contiennent plus d'antioxydants et moins de métaux lourds que les produits conventionnels, et sont donc meilleurs pour la santé.


 nalysant dans 343 études scientifiques les différences de composition entre les cultures biologiques et conventionnelles, l'équipe a constaté que le passage à la consommation de fruits bio, légumes et céréales - et de la nourriture préparée à partir de ces végétaux - fournirait des antioxydants supplémentaires équivalents à la consommation de 1 à 2 portions supplémentaires de fruits et légumes par jour.
Les résultats mettent en effet en évidence des concentrations en antioxydants tels que les polyphénols de 20 à 60 % plus élevées dans les aliments bio que dans les autres" Le fait de passer d'une consommation classique à une consommation de fruits, légumes et céréales bio (ou des aliments préparés à partir de ces produits) augmenterait l'apport en polyphénols de 20 à 40 % (et jusqu'à 60 %) pour certains d'entre eux et ce, sans prise supplémentaire de calories " soulignent les auteurs. Or De nombreuses études ont établi un lien entre les antioxydants et une réduction du risque de certaines maladies chroniques, notamment des maladies cardiovasculaires et neurodégénératives, et de certains cancers ".
L'étude, qui vient d'être publiée en dans la prestigieuse revue scientifique ' British Journal of Nutrition', montre également des niveaux significativement plus faibles de métaux lourds toxiques dans les cultures biologiques. Le cadmium, qui est l'un des trois seuls contaminants métalliques avec le plomb et le mercure pour lesquels la Commission européenne a défini des niveaux maximaux admissibles de contamination dans les aliments, a notamment été retrouvé à des quantités près de 50% inférieure dans les cultures biologiques par rapport aux cultures conventionnelles.
Le Professeur Carlo Leifert de l'Université de Newcastle, qui a dirigé l'étude, a déclaré: " Le débat bio contre non-bio court depuis maintenant des décennies, mais les preuves qu'apporte cette étude sont irréfutables : les aliments bio contiennent beaucoup d'antioxydants, et moins de métaux lourds et de pesticides toxiques ", a conclut le Pr Carlo Leifert, qui a mené l'étude.
François Veillerette, porte-parole de Générations Futures, a également déclaré : "Cette étude montre que l'alimentation biologique, outre qu'elle ne contient pas de résidus de pesticides et qu'elle protège l'environnement, produits des aliments aux qualités nutritionnelles intrinsèques très favorables à la santé. Il faut que le gouvernement français tiennent compte de ces éléments et accentue très significativement ses efforts pour le soutien du développement de la filière bio en France et favorise un accès de tous à cette alimentation santé ".

Santé : Vous avez 1 chance sur 4 de mourir du cancer

En 2011, dans les 28 pays de l'Union Européenne, le cancer a été à l'origine d'un décès sur quatre, représentant la première cause de mortalité. Le principal tueur est le cancer du poumon.




 Le service des statistiques de l'Union Européenne (Eurostat) vient de publier la liste des causes de décès dans les 28 pays de l'UE en 2011. Cette liste montre clairement que le cancer occupe très largement la première place de la mortalité en provoquant 1 décès sur 4 (26,3%), soit la mort de 1 281 000 personnes. Et ce nombre est malheureusement en augmentation depuis dix ans. Ainsi, entre 2002 et 2011, il est passé de 1,206 million à 1,281 million de décès. Et il touche de plus en plus de femmes (+ 6,6%) mais aussi d'hommes (+ 6%). Et ce ne sont pas forcément les personnes les plus âgées qui décèdent du cancer. Ainsi, en 2011, dans la population de l'UE28 âgée de moins de 65 ans cette maladie a représenté 37,1% de toutes les causes de décès recensées.
Quant au principal tueur c'est le cancer du poumon, entraînant la mort de plus de 266 000 personnes, soit 20,8% de tous les décès dus au cancer (les fumeurs qui meurent, ou vont mourir, remercient le Gouvernement qui détient le monopole de la vente de ce poison, et les lobbies qui ne désarment pas).
Sur le podium des décès le cancer colorectal (152 000 décès, soit 11,9%), se place en 2ème position, suivi à la 3ème place par le cancer du sein (93 000 décès, soit 7,2%), puis par le cancer du pancréas (78 000 décès, soit 6,1%) et le cancer de la prostate (73 000 décès, soit 10,2% de tous les cancers mortels au sein de la seule population masculine).
Bien que le cancer soit une maladie très complexe d'origine multifactorielle, nous savons bien aujourd'hui que les pesticides de synthèse, et de très nombreux produits chimiques présents dans l'air, dans l'eau et dans notre alimentation peuvent être à l'origine de cette maladie. Et nos enfants, dont l'organisme est en plein développement, sont particulièrement exposés.
Consommer des produits bio c'est sans aucun doute un bon moyen de réduire l'exposition à ces produits toxiques et le risque de développer cette maladie.

Saumons de Norvège, DANGER !

Le saumon norvégien, dangereux pour notre santé : il faut protéger les consommateurs





LE PLUS. Fumé, en tartare ou dans des sushis, le saumon norvégien est partout. Les Français en sont les plus grands consommateurs en Europe et pourtant il serait dangereux pour la santé. Jean-Paul Besset, député européen EELV, Jean-Philippe Magnen, porte-parole national EELV et Tom Sverre Tomren, membre du conseil fédéral norvégien de Miljøpartiet De Grønne tirent la sonnette d'alarme.


Un très grave problème de santé alimentaire et environnementale vient d’éclater au grand jour en Norvège. Le saumon d’élevage y est produit dans des conditions scandaleuses et est nocif pour la santé.

Depuis un rapport officiel de 2006 des autorités sanitaires norvégiennes, et malgré la multiplication des études et rapports sur le sujet, la Norvège a tardivement (7 ans après et sous pression de l’opinion)reconnu les recommandations émises par des scientifiques et des médecins, notamment sur les limitations de consommation nécessaires pour les enfants et les femmes enceintes ou les femmes en âge d’avoir des enfants sans, pour l’instant, les avoir mises en application.

Le gouvernement norvégien joue avec notre santé

Sur les conditions d’élevage et l’alimentation des saumons, en 2010, des éléments factuels ont été rapportés sur l’utilisation excessive d’un pesticide, le Diflubenzuron, afin de lutter contre un parasite naturel, le pou de mer. Ce pesticide présente des risques pour la santé, outre qu’il affecte les poissons, sa toxicité se transmet également à l’homme. Rien n’a été fait malgré l’alerte lancée par le gouvernement français de l’époque à son homologue norvégien.

La France, premier pays consommateur de ce poisson (il importe 110.000 tonnes de saumon norvégien par an) et sa population sont donc concernés tout comme nombre d’autres pays européens.

Par leur inaction persistante, le gouvernement norvégien et son industrie du saumon d'élevage jouent avec la santé de la population mondiale. L’enjeu économique est en effet de taille : la Norvège pèse pour 60 % de la production mondiale de saumon atlantique et l’exportation de celui-ci lui rapporte chaque année 4,7 milliards de dollars (29 milliards de couronnes norvégiennes).

Pour des contrôles accrus de la production

Mais l’enjeu sanitaire et environnemental dépasse évidemment l'enjeu économique. L’élevage intensif du saumon en Norvège, dans des conditions déplorables – entassement des animaux, traitements aux antibiotiques, épandages nocifs pour l’environnement... – aboutit à produire un poisson porteur de substances nocives potentiellement transmissibles aux consommateurs et alimente une pollution grandissante dans les fjords où sont installées les fermes d'élevage.

Avec les Verts norvégiens (De Grønne), Europe Écologie Les Verts exige que toute la lumière soit faite sur les conditions d’élevage du saumon de Norvège et que les recommandations de consommation établies par les autorités sanitaires soient respectées. Il faut garantir au plus tôt la distribution d’un saumon dépourvu de toutes substances dangereuses pour la santé, produit et nourrit de manière non nocive pour l'environnement. Des contrôles accrus de la production sont, à ce stade, évidemment indispensables.

Nous appelons les autorités françaises et européennes à se mobiliser pour protéger la santé des consommateurs. Celles-ci doivent exiger du gouvernement norvégien un nouveau cadre réglementaire qui, a minima, doit respecter la législation européenne et la transparence sur les conséquences sanitaires et environnementales de production industrielle du saumon d'élevage.

dimanche 4 janvier 2015

Produire du courant avec une sphère pour accentuer



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Espagne – Energie: Les panneaux solaires ne produisent pas encore assez d’électricité pour remplacer les centrales nucléaires. Mais tout le monde y travaille, même les architectes!
Monsieur André Broessel, architecte, a eu l’idée de construire une sphère en verre massif qui est remplie d’eau et qui dirige la lumière à un endroit précis. (En effet, les panneaux solaires qui possèdent la capacité de suivre le soleil coûtent extrêmement cher!)
Pourquoi? Parce que, concentrant les rayons du soleil, ces boules de verre peuvent cibler un panneau solaire (ou un ensemble de panneaux) afin d’accroître sa capacité à fabriquer de l’électricité de…. tenez-vous bien! …  35%!
L’idée est plus que fantastique mais les coûts sont trop importants… De plus, pour une sphère de deux mètres de diamètre, il faut compter une masse totale de 4 tonnes!
Si je vous en parle, c’est parce que je suis persuadée que parmi vous cette idée fera germer plein de solutions :)
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Pour pré commander l'une d'elle

Beta.ey B